Cliquez ici >>> 🎁 quatriĂšme partie du code de la santĂ© publique

Codede la santĂ© publique Partie rĂ©glementaire PremiĂšre partie : Protection gĂ©nĂ©rale de la santĂ© Livre Ier : Protection des personnes en matiĂšre de santĂ© Titre Ier : Droits des personnes malades et des usagers du systĂšme de santĂ© Chapitre prĂ©liminaire : Droits de la personne Section 1 : ConfidentialitĂ© des informations mĂ©dicales conservĂ©es sur support informatique ou Gratuit: Retrouvez l'intĂ©gralitĂ© du Code de la santĂ© publique ci-dessous : Article L1453-1. EntrĂ©e en vigueur 2019-07-27. I.-Les entreprises produisant ou commercialisant des produits mentionnĂ©s au II de l'article L. 5311-1 Ă  l'exception de ceux mentionnĂ©s aux 14°, 15° et 17° ou assurant des prestations associĂ©es Ă  ces produits sont tenues de rendre publics, sur un site III -- A l'article L. 1417-5 du code de la santĂ© publique, le 6° est abrogĂ© et le 7° devient le 6°. IV. -- L'article L. 3411-4 du mĂȘme code est abrogĂ©. Article 5. I. -- Le chapitre I er du titre I er du livre IV de la premiĂšre partie du code de la santĂ© publique est complĂ©tĂ© par six articles L. 1411-14 Ă  L. 1411-19 ainsi rĂ©digĂ©s : Remarquesdu Conseil d'Etat: RĂ©ponses: FormalitĂ©s prĂ©alables (pages 3 et suivantes) En ce qui concerne l'abrogation des arrĂȘtĂ©s codifiĂ©s, comme la section de lĂ©gislation du Conseil d'Etat l'a Ă©voquĂ© dans son avis 50.115/4 du 23 aoĂ»t 2011 sur la partie dĂ©crĂ©tale du code, il en rĂ©sulte que ce n'est plus une « codification Ă  droit constant » mais bien l'expression QuatriĂšmepartie : Professions de santĂ©; Livre III : Auxiliaires mĂ©dicaux, aides-soignants, auxiliaires de puĂ©riculture, ambulanciers et assistants dentaires; Titre Ier : Profession d'infirmier ou d'infirmiĂšre; Chapitre II : DĂ©ontologie des infirmiers ; Section 4 : ModalitĂ©s d'exercice de la profession; Article R4312-35 du Code de la santĂ© publique. La rĂ©fĂ©rence de ce texte Mon Homme Est Inscrit Sur Un Site De Rencontre. La boutique ne fonctionnera pas correctement dans le cas oĂč les cookies sont dĂ©sactivĂ©s. Basculer la navigation 06/2022 - 36e Ă©dition Auteurs Jean-Paul Markus; DaniĂšle Cristol; JĂ©rĂŽme PeignĂ©; Elisabeth Autier Livraison possible sous 4h Tous les textes intĂ©ressant la matiĂšre rĂ©unis en un code De nouveaux textes codifiĂ©s notamment la loi relative Ă  la bioĂ©thique Version numĂ©rique incluse Ouvrages frĂ©quemment achetĂ©s ensemble + La revue associĂ©e Ă  prix rĂ©duit +-20% Les + de l'Ă©dition 2022 - tous les textes intĂ©ressant la matiĂšre rĂ©unis en un code ; - de nouveaux textes codifiĂ©s notamment la loi relative Ă  la bioĂ©thique ;- inclus le Code en ligne, enrichi, annotĂ© et mis Ă  jour en continu par des experts. Le Code de la santĂ© publique 2022 Dalloz rassemble tous les textes intĂ©ressant la matiĂšre Ă  travers six parties - ses deux premiĂšres traitent de la protection des personnes,- la troisiĂšme intĂ©resse la lutte contre les maladies, - la quatriĂšme concerne les professions de santĂ©, - la cinquiĂšme vise les produits de santĂ©,- la derniĂšre embrasse l’organisation et le fonctionnement des Ă©tablissements et services de santĂ©. L'Ă©dition 2022 du Code de la santĂ© publique Dalloz comprend notamment - la loi du 2 aoĂ»t 2021 relative Ă  la bioĂ©thique ;- la loi du 2 aoĂ»t 2021 pour renforcer la prĂ©vention en santĂ© au travail ;- la loi du 10 novembre 2021 portant diverses dispositions de vigilance sanitaire ;- la loi du 23 dĂ©cembre 2021 de financement de la sĂ©curitĂ© sociale pour 2022. Fiche technique EAN9782247214556 Poids1580 Date de parution2 juin 2022 Marque de l'ouvrageDALLOZ FaçonnageRELIE Nom de la collectionCodes Dalloz Professionnels ThĂ©matiquesDroit social Droit du travail Largeur128 Hauteur193 Nombre de pages3780 Code de la santĂ© publique 2022, annotĂ© commentĂ© en ligneVersion papier Le Code de la santĂ© publique regroupe les lois relatives au droit de la santĂ© publique Gratuit Retrouvez l'intĂ©gralitĂ© du Code de la santĂ© publique ci-dessous Toute personne a accĂšs Ă  l'ensemble des informations concernant sa santĂ© dĂ©tenues, Ă  quelque titre que ce soit, par des professionnels de santĂ©, par des Ă©tablissements de santĂ© par des centres de santĂ©, par des maisons de naissance, par le service de santĂ© des armĂ©es ou par... Lire la suite Le Code de la santĂ© publique regroupe les lois relatives au droit de la santĂ© publique Gratuit Retrouvez l'intĂ©gralitĂ© du Code de la santĂ© publique ci-dessous Toute personne a accĂšs Ă  l'ensemble des informations concernant sa santĂ© dĂ©tenues, Ă  quelque titre que ce soit, par des professionnels de santĂ©, par des Ă©tablissements de santĂ© par des centres de santĂ©, par des maisons de naissance, par le service de santĂ© des armĂ©es ou par l'Institution nationale des invalides qui sont formalisĂ©es ou ont fait l'objet d'Ă©changes Ă©crits entre professionnels de santĂ©, notamment des rĂ©sultats d'examen, comptes rendus de consultation, d'intervention, d'exploration ou d'hospitalisation, des protocoles et prescriptions thĂ©rapeutiques mis en oeuvre, feuilles de surveillance, correspondances entre professionnels de santĂ©, Ă  l'exception des informations mentionnant qu'elles ont Ă©tĂ© recueillies auprĂšs de tiers n'intervenant pas dans la prise en charge thĂ©rapeutique ou concernant un tel tiers. Elle peut accĂ©der Ă  ces informations directement ou par l'intermĂ©diaire d'un mĂ©decin qu'elle dĂ©signe et en obtenir communication, dans des conditions dĂ©finies par voie rĂ©glementaire au plus tard dans les huit jours suivant sa demande et au plus tĂŽt aprĂšs qu'un dĂ©lai de rĂ©flexion de quarante-huit heures aura Ă©tĂ© observĂ©. Ce dĂ©lai est portĂ© Ă  deux mois lorsque les informations mĂ©dicales datent de plus de cinq ans ou lorsque la commission dĂ©partementale des soins psychiatriques est saisie en application du quatriĂšme alinĂ©a. Lorsque la personne majeure fait l'objet d'une mesure de protection juridique avec reprĂ©sentation relative Ă  la personne, la personne en charge de la mesure a accĂšs Ă  ces informations dans les mĂȘmes conditions. Lorsque la personne majeure fait l'objet d'une mesure de protection juridique avec assistance, la personne chargĂ©e de l'assistance peut accĂ©der Ă  ces informations avec le consentement exprĂšs de la personne protĂ©gĂ©e. La prĂ©sence d'une tierce personne lors de la consultation de certaines informations peut ĂȘtre recommandĂ©e par le mĂ©decin les ayant Ă©tablies ou en Ă©tant dĂ©positaire, pour des motifs tenant aux risques que leur connaissance sans accompagnement ferait courir Ă  la personne concernĂ©e. Le refus de cette derniĂšre ne fait pas obstacle Ă  la communication de ces informations. A titre exceptionnel, la consultation des informations recueillies, dans le cadre d'une admission en soins psychiatriques dĂ©cidĂ©e en application des chapitres II Ă  IV du titre Ier du livre II de la troisiĂšme partie du prĂ©sent code ou ordonnĂ©e en application de l'article 706-135 du code de procĂ©dure pĂ©nale, peut ĂȘtre subordonnĂ©e Ă  la prĂ©sence d'un mĂ©decin dĂ©signĂ© par le demandeur en cas de risques d'une gravitĂ© particuliĂšre. En cas de refus du demandeur, la commission dĂ©partementale des soins psychiatriques est saisie. Son avis s'impose au dĂ©tenteur des informations comme au demandeur. Sous rĂ©serve de l'opposition prĂ©vue aux articles L. 1111-5 et L. 1111-5-1, dans le cas d'une personne mineure, le droit d'accĂšs est exercĂ© par le ou les titulaires de l'autoritĂ© parentale. A la demande du mineur, cet accĂšs a lieu par l'intermĂ©diaire d'un mĂ©decin. En cas de dĂ©cĂšs du malade, l'accĂšs au dossier mĂ©dical de ce malade des ayants droit, du concubin, du partenaire liĂ© par un pacte civil de solidaritĂ© ou du mĂ©decin prenant en charge une personne susceptible de faire l'objet d'un examen des caractĂ©ristiques gĂ©nĂ©tiques dans les conditions prĂ©vues au I de l'article L. 1130-4 s'effectue dans les conditions prĂ©vues aux deux derniers alinĂ©as du V de l'article L. 1110-4. La consultation sur place des informations est gratuite. Le Premier ministre, Sur le rapport de la ministre de l'enseignement supĂ©rieur et de la recherche et de la ministre de la santĂ© et des sports, Vu le code de l'Ă©ducation, notamment ses articles L. 682-1, L. 683-2 et L. 684-2 ; Vu le code de la santĂ© publique ; Vu le dĂ©cret n° 2002-481 du 8 avril 2002 relatif aux grades et titres universitaires et aux diplĂŽmes nationaux ; Vu le dĂ©cret n° 2006-1334 du 3 novembre 2006 modifiĂ© relatif Ă  l'organisation et au fonctionnement de l'Agence d'Ă©valuation de la recherche et de l'enseignement supĂ©rieur ; Vu l'avis du Conseil national de l'enseignement supĂ©rieur et de la recherche en date du 21 septembre 2009 ; Vu l'avis de la commission consultative d'Ă©valuation des normes en date du 1er octobre 2009 ; Vu l'avis du gouvernement de la Nouvelle-CalĂ©donie en date du 16 fĂ©vrier 2010 ; Vu l'avis du gouvernement de la PolynĂ©sie française en date du 9 mars 2010, DĂ©crĂšte Texte totalement abrogĂ© sous rĂ©serve des dispositions de l'article 5 du dĂ©cret 2013-756 Le grade de licence est confĂ©rĂ© de plein droit aux titulaires des titres ou diplĂŽmes relevant du livre III de la quatriĂšme partie du code de la santĂ© publique dĂ©livrĂ©s au nom de l'Etat dont la liste figure en annexe du prĂ©sent dĂ©cret. L'organisme chargĂ© d'assurer la formation menant aux titres ou diplĂŽmes figurant en annexe du prĂ©sent dĂ©cret, ou une personne morale mandatĂ©e par lui Ă  cet effet, conclut une convention avec une ou plusieurs universitĂ©s de l'acadĂ©mie et la rĂ©gion. Lorsqu'il n'y a qu'une universitĂ© dans l'acadĂ©mie, la convention est signĂ©e avec cette universitĂ©. Lorsqu'il existe plusieurs universitĂ©s dans l'acadĂ©mie, la convention est signĂ©e par les universitĂ©s appelĂ©es Ă  intervenir dans la formation, coordonnĂ©es par une universitĂ© ayant une composante de formation en santĂ©. Lorsque la collectivitĂ© territoriale sur le territoire de laquelle est situĂ© l'organisme chargĂ© d'assurer la formation ne comporte aucune universitĂ©, la convention est conclue avec une universitĂ© ayant une composante mĂ©dicale et la rĂ©gion dans laquelle est implantĂ©e l'universitĂ©. Cette convention prĂ©cise, notamment, les conditions dans lesquelles la ou les universitĂ©s contribuent aux enseignements dĂ©livrĂ©s dans les structures de formation et les modalitĂ©s de participation des enseignants-chercheurs aux jurys d'examens. Elle dĂ©termine Ă©galement les conditions de la participation de la ou des universitĂ©s aux dispositifs internes d'Ă©valuation conduits par l'organisme chargĂ© d'assurer... Nous voudrions mettre en avant le fait que la refonte du code de la santĂ© publique 2000-2005 a fait disparaitre matĂ©riellement plusieurs codes alors existants dont les contenus Ă  droit constant ont Ă©tĂ© repris dans ses nouvelles dispositions. Alors que l’inflation lĂ©gislative et rĂ©glementaire est dĂ©noncĂ©e par tous, la refonte s’est accompagnĂ©e, comme il est de rĂšgle, de l’abrogation des textes dĂ©sormais codifiĂ©s, des centaines et des centaines d’articles, et mĂȘme de codes tout entiers dont le contenu a Ă©tĂ© repris dans la version nouvelle du code, tout en rendant les normes du droit plus accessibles dans un vaste ensemble ordonnĂ©. Pour s’en tenir aux codes, la refonte de la partie lĂ©gislative du code de la santĂ© publique, par l’ordonnance n°2000-548 du 15 juin 2000 a entrainĂ© la reprise des dispositions utiles et l’abrogation simultanĂ©e de la partie lĂ©gislative du code des dĂ©bits de boissons et de lutte contre l’alcoolisme » et de la partie lĂ©gislative du code de la consommation, des boissons et des mesures contre l’alcoolisme applicable dans la collectivitĂ© territoriale de Mayotte ». Les parties rĂ©glementaires devaient ĂȘtre abrogĂ©es le 27 mai 2003 faisant ainsi disparaitre ces deux codes du droit en vigueur. La raison essentielle est qu’à cette Ă©poque, la codification avait de vastes ambitions et ne rĂ©pugnait pas Ă  l’idĂ©e d’accoucher de codes de grandes dimensions, pourvu que leur contenu corresponde Ă  leur objet. Les codes des dĂ©bits de boissons et des mesures contre l’alcoolisme avaient pour finalitĂ© de protĂ©ger la santĂ© publique. DĂšs lors, il Ă©tait justifiĂ© qu’ils soient insĂ©rĂ©s dans le code de la santĂ© publique dans la codification nouvelle du livre ancien des flĂ©aux sociaux, intitulĂ© qui n’a pas Ă©tĂ© opportunĂ©ment repris, c’est-Ă -dire dans la troisiĂšme partie du code lutte contre les maladies et dĂ©pendances ». L’édition prĂ©cĂ©dente comportait quelques dispositions relatives Ă  l’alcoolisme ; ces dispositions et celles relatives au code des dĂ©bits de boissons et des mesures contre l’alcoolisme sont venues constituer le livre III de la troisiĂšme partie. Naturellement, le code des dĂ©bits de boissons et de lutte contre l’alcoolisme Ă  Mayotte devrait s’intĂ©grer dans le dernier livre de cette troisiĂšme partie, le dernier livre de chacune des six parties Ă©tant rĂ©servĂ© aux seules collectivitĂ©s d’outre-mer rĂ©gies par le principe de spĂ©cialitĂ© ; les quelques dispositions des collectivitĂ©s ultramarines rĂ©gies par le principe d’identitĂ© trouvant leur place naturelle dans les livres gĂ©nĂ©raux de cette mĂȘme partie. On rappellera en effet qu’à l’époque de la refonte du code 2000, Mayotte Ă©tait rĂ©gie encore par le principe de spĂ©cialitĂ©. Le piquant de la situation est que, Ă  bien des Ă©gards, les dispositions applicables Ă  Mayotte, plus rĂ©centes 1992 Ă©taient mieux rĂ©digĂ©es que celles applicables en mĂ©tropole. C’est une des raisons pour lesquelles il n’a pas Ă©tĂ© possible de ne faire figurer dans le titre consacrĂ© Ă  Mayotte que les dispositions spĂ©cifiques, et que les dispositions Mayotte ont Ă©tĂ© reprises en bloc. La mise en cohĂ©rence des dispositions hexagonales et des dispositions mahoraises aurait nĂ©cessitĂ© des modifications du fond du droit, un accord entre plusieurs ministĂšres, une concertation Ă©troite avec Mayotte, ce qui ne pouvait intervenir dans le dĂ©lai trĂšs contraint imparti Ă  la codification de la partie rĂšglementaire. La refonte de la partie rĂ©glementaire du code de la santĂ© publique 2003-2005 a entrainĂ© quant Ă  elle Ă  la reprise en son sein des dispositions des trois codes de dĂ©ontologie des trois professions mĂ©dicales et l’abrogation des trois codes correspondants jusqu’alors autonomes. En effet, ce sont juridiquement trois dĂ©crets en Conseil d’Etat pris sur proposition des ordres, et ces trois dĂ©crets trouvaient leur fondement lĂ©gal dans un article lĂ©gislatif du code de la santĂ© publique. Il Ă©tait donc conforme aux bonnes pratiques de codification que les dĂ©crets d’application de cet article lĂ©gislatif figurent dans la partie rĂ©glementaire de ce mĂȘme code. Toutefois, ce n’est pas sans apprĂ©hension que ceci fut entrepris et rĂ©ussi, grĂące aussi Ă  la dĂ©termination de la rapporteuse de cette partie, une des trĂšs grandes figures en matiĂšre de codification de la Commission supĂ©rieure de codification et du Conseil d’Etat. Les codes de dĂ©ontologie sont des textes fondamentaux pour chacune des professions mĂ©dicales ; leur respect est assurĂ© en premier ressort et en appel par les juridictions ordinales, et, de plus, bien des articles sont connus par leurs propres numĂ©ros par les praticiens eux-mĂȘmes. Il existait cependant un argument pĂ©remptoire sur cette question. Le code de dĂ©ontologie des pharmaciens figurait dĂ©jĂ  en bonne et due place dans le code de la santĂ© publique. DĂšs lors, si le code de dĂ©ontologie des pharmaciens faisait partie intĂ©grante du code de la santĂ© publique, les codes de dĂ©ontologie des professions mĂ©dicales pouvaient eux aussi connaitre le mĂȘme traitement. On sait en effet que jusqu’à la refonte, les dispositions relatives aux mĂ©dicaments et aux professions de la pharmacie Ă©taient amalgamĂ©es dans un ensemble peu lisible ; en 2000, les dispositions relatives aux professions de la pharmacie sont venues former le livre II de la quatriĂšme partie du code consacrĂ© aux professions de santĂ©, et les dispositions relatives aux mĂ©dicaments et autres produits de santĂ© ont constituĂ© le gros de la cinquiĂšme partie du code. L’intĂ©gration dans la partie rĂšglementaire du code de la santĂ© publique des trois codes de dĂ©ontologie des trois professions mĂ©dicales a soulevĂ© des problĂšmes particuliers de codification. Il fallait en effet naturellement modifier en rien sur le fond le contenu de ces codes, mais il fallait aussi rester fidĂšle autant que possible Ă  la numĂ©rotation des articles connus des praticiens. Chacun des codes devait commencer par le numĂ©ro 1 et les chirurgiens-dentistes et les sages-femmes auraient pu mal accepter que le premier numĂ©ro de chacun de leur code s’inscrive Ă  la suite du dernier numĂ©ro du code prĂ©cĂ©dent, ce qui, de plus, n’aurait pas permis Ă  ces praticiens de retrouver les articles dont ils connaissaient leur numĂ©ro par cœur dans ce nouvel ordonnancement. L’article lĂ©gislatif occupait Ă  lui seul un chapitre de la partie lĂ©gislative, ce qui voulait dire que plusieurs centaines d’articles devraient se trouver dans le mĂȘme chapitre rĂ©glementaire correspondant avec une numĂ©rotation continue, rendant l’ensemble peu lisible, mĂȘme ordonnĂ© en sections et sous-sections. Enfin, chacun des codes devait pouvoir Ă©voluer et croitre Ă  son propre rythme. C’est pourquoi le principe de la numĂ©rotation continue des articles de 1 Ă  X au sein d’un mĂȘme chapitre a-t-il Ă©tĂ© amĂ©nagĂ© en trois sĂ©ries sĂ©parĂ©es. Les 112 articles du code de dĂ©ontologie des mĂ©decins dĂ©cret n°95-1000 du 6 septembre 1995 se retrouveraient dans la 1ere sĂ©rie, allant possiblement de 1 Ă  199, ce qui permettrait Ă  ce code d’accueillir des articles nouveaux supplĂ©mentaires. Les 85 articles du code dĂ©ontologie des chirurgiens-dentistes se trouveraient dans les articles 201 Ă  285 avec une possibilitĂ© d’extension donc de 14 articles. Les 67 articles du code de dĂ©ontologie des sage-femmes se trouveraient dans les articles 301 Ă  367 lĂ  encore avec une possibilitĂ© d’extension indĂ©finie, pouvant aller jusqu’à 999. L’intĂ©rĂȘt Ă©tait aussi et surtout que les mĂ©decins qui connaissaient par cœur certains numĂ©ros des articles de leur code retrouvent ces numĂ©ros dans cette configuration, aprĂšs l’indication des 4 premiers chiffres qui, conformes Ă  l’organisation gĂ©nĂ©rale permettent de situer immĂ©diatement dans la 4Ăšme partie professions de santĂ© » , livre I professions mĂ©dicales », titre 2 organisation des professions mĂ©dicales » et chapitre 7 dĂ©ontologie ». Une question alors se posa pour certains articles du code de dĂ©ontologie des chirurgiens-dentistes qui connaissaient des numĂ©ros intercalaires le dĂ©cret n°67-671 du 22 juillet 1967 comportait des articles 3-1, 5-1, 5-2, 13-1 etc. On ne pouvait reprendre ces numĂ©ros intercalaires dans une codification nouvelle ; aussi bien a -t-on rangĂ© les numĂ©ros des articles du code de dĂ©ontologie dans une suite continue. Sur le fond, les dispositions ont Ă©tĂ© reprises Ă  l’identique et le contrĂŽle limitĂ© au respect de la hiĂ©rarchie des normes. A ce titre certains articles des codes dĂ©ontologie n’avaient pas Ă©tĂ© modifiĂ©s Ă  la suite de la loi Kouchner n°2002-303 du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et Ă  la qualitĂ© des soins. Il n’était naturellement pas envisageable de modifier substantiellement la rĂ©daction des articles en cause, ce qui aurait supposĂ© des Ă©changes approfondis avec chacun des Ordres, ce que ne permettait pas le calendrier de codification. Le codificateur s’est bornĂ© Ă  indiquer cette mise Ă  jour utile en ajoutant des sous rĂ©serve de » avec la mention de l’article lĂ©gislatif en cause R 4127-35, R. 4127-42. Pareillement, pour le code de dĂ©ontologie des chirurgiens-dentistes R. 4127-237, R 4127-239, pour le code de dĂ©ontologie des sages-femmes R. 4127-330, R 4127-331, avec bien entendu l’accord des Ordres sur ces modifications limitĂ©es. Presque vingt ans aprĂšs, on vit que les choix opĂ©rĂ©s rĂ©sistent Ă  l’épreuve du temps. Le code de dĂ©bits de boissons et de lutte contre l’alcoolisme a disparu ; dans les commerces vendant de l’alcool sont affichĂ©s les articles du code de la santĂ© publique interdisant la vente aux mineurs ; la justification de l’interdiction est apparente pour tous ; c’est bien pour protĂ©ger la santĂ© des mineurs et pour les en informer que cette mesure restrictive est prise. Les professions mĂ©dicales se sont habituĂ©es Ă  trouver les articles de leur code de dĂ©ontologie dans le code de la santĂ© publique et non pas dans des codes Ă  part. La numĂ©rotation originale adoptĂ©e s’est rĂ©vĂ©lĂ©e efficace. Naturellement, des modifications de fond sont intervenues depuis 2003 un code est une matiĂšre en mouvement en adaptation constante. Si certains articles ont Ă©tĂ© abrogĂ©s, le nombre d’articles des codes de dĂ©ontologie s’est globalement accru en recourant aux subdivisions entre deux articles par ex. pour les mĂ©decins R 4127-37-1, R 4127-37-2, R 4127-37-3, R 4127-37-4 ; par ex. pour les sages-femmes R 4127-310-2 et R 4127-310-3. Cela se comprend si on considĂšre que les articles doivent s’insĂ©rer dans la logique des matiĂšres traitĂ©es et ne pas ĂȘtre systĂ©matiquement placĂ©s Ă  la fin des dispositions existantes. Du moins, si une refonte d’ensemble d’un des trois codes devait intervenir, et donc supprimer les numĂ©rotations intercalaires, le systĂšme retenu permettrait de numĂ©roter en continu l’ensemble des articles. En dĂ©finitive donc la refonte du code de la santĂ© publique a entrainĂ© l’abrogation de cinq codes alors existants, facilitant ainsi de façon remarquable l’accĂšs au droit pour tous, ce qui est la finalitĂ© mĂȘme d’un code. Nous voudrions mettre en avant le fait que la refonte du code de la santĂ© publique 2000-2005 a fait disparaitre matĂ©riellement plusieurs codes alors existants dont les contenus Ă  droit constant ont Ă©tĂ© repris dans ses nouvelles dispositions. Alors que l’inflation lĂ©gislative et rĂ©glementaire est dĂ©noncĂ©e par tous, la refonte s’est accompagnĂ©e, comme il est de rĂšgle, de l’abrogation des textes dĂ©sormais codifiĂ©s, des centaines et des centaines d’articles, et mĂȘme de codes tout entiers dont le contenu a Ă©tĂ© repris dans la version nouvelle du code, tout en rendant les normes du droit plus accessibles dans un vaste ensemble ordonnĂ©. Pour s’en tenir aux codes, la refonte de la partie lĂ©gislative du code de la santĂ© publique, par l’ordonnance n°2000-548 du 15 juin 2000 a entrainĂ© la reprise des dispositions utiles et l’abrogation simultanĂ©e de la partie lĂ©gislative du code des dĂ©bits de boissons et de lutte contre l’alcoolisme » et de la partie lĂ©gislative du code de la consommation, des boissons et des mesures contre l’alcoolisme applicable dans la collectivitĂ© territoriale de Mayotte ». Les parties rĂ©glementaires devaient ĂȘtre abrogĂ©es le 27 mai 2003 faisant ainsi disparaitre ces deux codes du droit en vigueur. La raison essentielle est qu’à cette Ă©poque, la codification avait de vastes ambitions et ne rĂ©pugnait pas Ă  l’idĂ©e d’accoucher de codes de grandes dimensions, pourvu que leur contenu corresponde Ă  leur objet. Les codes des dĂ©bits de boissons et des mesures contre l’alcoolisme avaient pour finalitĂ© de protĂ©ger la santĂ© publique. DĂšs lors, il Ă©tait justifiĂ© qu’ils soient insĂ©rĂ©s dans le code de la santĂ© publique dans la codification nouvelle du livre ancien des flĂ©aux sociaux, intitulĂ© qui n’a pas Ă©tĂ© opportunĂ©ment repris, c’est-Ă -dire dans la troisiĂšme partie du code lutte contre les maladies et dĂ©pendances ». L’édition prĂ©cĂ©dente comportait quelques dispositions relatives Ă  l’alcoolisme ; ces dispositions et celles relatives au code des dĂ©bits de boissons et des mesures contre l’alcoolisme sont venues constituer le livre III de la troisiĂšme partie. Naturellement, le code des dĂ©bits de boissons et de lutte contre l’alcoolisme Ă  Mayotte devrait s’intĂ©grer dans le dernier livre de cette troisiĂšme partie, le dernier livre de chacune des six parties Ă©tant rĂ©servĂ© aux seules collectivitĂ©s d’outre-mer rĂ©gies par le principe de spĂ©cialitĂ© ; les quelques dispositions des collectivitĂ©s ultramarines rĂ©gies par le principe d’identitĂ© trouvant leur place naturelle dans les livres gĂ©nĂ©raux de cette mĂȘme partie. On rappellera en effet qu’à l’époque de la refonte du code 2000, Mayotte Ă©tait rĂ©gie encore par le principe de spĂ©cialitĂ©. Le piquant de la situation est que, Ă  bien des Ă©gards, les dispositions applicables Ă  Mayotte, plus rĂ©centes 1992 Ă©taient mieux rĂ©digĂ©es que celles applicables en mĂ©tropole. C’est une des raisons pour lesquelles il n’a pas Ă©tĂ© possible de ne faire figurer dans le titre consacrĂ© Ă  Mayotte que les dispositions spĂ©cifiques, et que les dispositions Mayotte ont Ă©tĂ© reprises en bloc. La mise en cohĂ©rence des dispositions hexagonales et des dispositions mahoraises aurait nĂ©cessitĂ© des modifications du fond du droit, un accord entre plusieurs ministĂšres, une concertation Ă©troite avec Mayotte, ce qui ne pouvait intervenir dans le dĂ©lai trĂšs contraint imparti Ă  la codification de la partie rĂšglementaire. La refonte de la partie rĂ©glementaire du code de la santĂ© publique 2003-2005 a entrainĂ© quant Ă  elle Ă  la reprise en son sein des dispositions des trois codes de dĂ©ontologie des trois professions mĂ©dicales et l’abrogation des trois codes correspondants jusqu’alors autonomes. En effet, ce sont juridiquement trois dĂ©crets en Conseil d’Etat pris sur proposition des ordres, et ces trois dĂ©crets trouvaient leur fondement lĂ©gal dans un article lĂ©gislatif du code de la santĂ© publique. Il Ă©tait donc conforme aux bonnes pratiques de codification que les dĂ©crets d’application de cet article lĂ©gislatif figurent dans la partie rĂ©glementaire de ce mĂȘme code. Toutefois, ce n’est pas sans apprĂ©hension que ceci fut entrepris et rĂ©ussi, grĂące aussi Ă  la dĂ©termination de la rapporteuse de cette partie, une des trĂšs grandes figures en matiĂšre de codification de la Commission supĂ©rieure de codification et du Conseil d’Etat. Les codes de dĂ©ontologie sont des textes fondamentaux pour chacune des professions mĂ©dicales ; leur respect est assurĂ© en premier ressort et en appel par les juridictions ordinales, et, de plus, bien des articles sont connus par leurs propres numĂ©ros par les praticiens eux-mĂȘmes. Il existait cependant un argument pĂ©remptoire sur cette question. Le code de dĂ©ontologie des pharmaciens figurait dĂ©jĂ  en bonne et due place dans le code de la santĂ© publique. DĂšs lors, si le code de dĂ©ontologie des pharmaciens faisait partie intĂ©grante du code de la santĂ© publique, les codes de dĂ©ontologie des professions mĂ©dicales pouvaient eux aussi connaitre le mĂȘme traitement. On sait en effet que jusqu’à la refonte, les dispositions relatives aux mĂ©dicaments et aux professions de la pharmacie Ă©taient amalgamĂ©es dans un ensemble peu lisible ; en 2000, les dispositions relatives aux professions de la pharmacie sont venues former le livre II de la quatriĂšme partie du code consacrĂ© aux professions de santĂ©, et les dispositions relatives aux mĂ©dicaments et autres produits de santĂ© ont constituĂ© le gros de la cinquiĂšme partie du code. L’intĂ©gration dans la partie rĂšglementaire du code de la santĂ© publique des trois codes de dĂ©ontologie des trois professions mĂ©dicales a soulevĂ© des problĂšmes particuliers de codification. Il fallait en effet naturellement modifier en rien sur le fond le contenu de ces codes, mais il fallait aussi rester fidĂšle autant que possible Ă  la numĂ©rotation des articles connus des praticiens. Chacun des codes devait commencer par le numĂ©ro 1 et les chirurgiens-dentistes et les sages-femmes auraient pu mal accepter que le premier numĂ©ro de chacun de leur code s’inscrive Ă  la suite du dernier numĂ©ro du code prĂ©cĂ©dent, ce qui, de plus, n’aurait pas permis Ă  ces praticiens de retrouver les articles dont ils connaissaient leur numĂ©ro par cœur dans ce nouvel ordonnancement. L’article lĂ©gislatif occupait Ă  lui seul un chapitre de la partie lĂ©gislative, ce qui voulait dire que plusieurs centaines d’articles devraient se trouver dans le mĂȘme chapitre rĂ©glementaire correspondant avec une numĂ©rotation continue, rendant l’ensemble peu lisible, mĂȘme ordonnĂ© en sections et sous-sections. Enfin, chacun des codes devait pouvoir Ă©voluer et croitre Ă  son propre rythme. C’est pourquoi le principe de la numĂ©rotation continue des articles de 1 Ă  X au sein d’un mĂȘme chapitre a-t-il Ă©tĂ© amĂ©nagĂ© en trois sĂ©ries sĂ©parĂ©es. Les 112 articles du code de dĂ©ontologie des mĂ©decins dĂ©cret n°95-1000 du 6 septembre 1995 se retrouveraient dans la 1ere sĂ©rie, allant possiblement de 1 Ă  199, ce qui permettrait Ă  ce code d’accueillir des articles nouveaux supplĂ©mentaires. Les 85 articles du code dĂ©ontologie des chirurgiens-dentistes se trouveraient dans les articles 201 Ă  285 avec une possibilitĂ© d’extension donc de 14 articles. Les 67 articles du code de dĂ©ontologie des sage-femmes se trouveraient dans les articles 301 Ă  367 lĂ  encore avec une possibilitĂ© d’extension indĂ©finie, pouvant aller jusqu’à 999. L’intĂ©rĂȘt Ă©tait aussi et surtout que les mĂ©decins qui connaissaient par cœur certains numĂ©ros des articles de leur code retrouvent ces numĂ©ros dans cette configuration, aprĂšs l’indication des 4 premiers chiffres qui, conformes Ă  l’organisation gĂ©nĂ©rale permettent de situer immĂ©diatement dans la 4Ăšme partie professions de santĂ© » , livre I professions mĂ©dicales », titre 2 organisation des professions mĂ©dicales » et chapitre 7 dĂ©ontologie ». Une question alors se posa pour certains articles du code de dĂ©ontologie des chirurgiens-dentistes qui connaissaient des numĂ©ros intercalaires le dĂ©cret n°67-671 du 22 juillet 1967 comportait des articles 3-1, 5-1, 5-2, 13-1 etc. On ne pouvait reprendre ces numĂ©ros intercalaires dans une codification nouvelle ; aussi bien a -t-on rangĂ© les numĂ©ros des articles du code de dĂ©ontologie dans une suite continue. Sur le fond, les dispositions ont Ă©tĂ© reprises Ă  l’identique et le contrĂŽle limitĂ© au respect de la hiĂ©rarchie des normes. A ce titre certains articles des codes dĂ©ontologie n’avaient pas Ă©tĂ© modifiĂ©s Ă  la suite de la loi Kouchner n°2002-303 du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et Ă  la qualitĂ© des soins. Il n’était naturellement pas envisageable de modifier substantiellement la rĂ©daction des articles en cause, ce qui aurait supposĂ© des Ă©changes approfondis avec chacun des Ordres, ce que ne permettait pas le calendrier de codification. Le codificateur s’est bornĂ© Ă  indiquer cette mise Ă  jour utile en ajoutant des sous rĂ©serve de » avec la mention de l’article lĂ©gislatif en cause R 4127-35, R. 4127-42. Pareillement, pour le code de dĂ©ontologie des chirurgiens-dentistes R. 4127-237, R 4127-239, pour le code de dĂ©ontologie des sages-femmes R. 4127-330, R 4127-331, avec bien entendu l’accord des Ordres sur ces modifications limitĂ©es. Presque vingt ans aprĂšs, on vit que les choix opĂ©rĂ©s rĂ©sistent Ă  l’épreuve du temps. Le code de dĂ©bits de boissons et de lutte contre l’alcoolisme a disparu ; dans les commerces vendant de l’alcool sont affichĂ©s les articles du code de la santĂ© publique interdisant la vente aux mineurs ; la justification de l’interdiction est apparente pour tous ; c’est bien pour protĂ©ger la santĂ© des mineurs et pour les en informer que cette mesure restrictive est prise. Les professions mĂ©dicales se sont habituĂ©es Ă  trouver les articles de leur code de dĂ©ontologie dans le code de la santĂ© publique et non pas dans des codes Ă  part. La numĂ©rotation originale adoptĂ©e s’est rĂ©vĂ©lĂ©e efficace. Naturellement, des modifications de fond sont intervenues depuis 2003 un code est une matiĂšre en mouvement en adaptation constante. Si certains articles ont Ă©tĂ© abrogĂ©s, le nombre d’articles des codes de dĂ©ontologie s’est globalement accru en recourant aux subdivisions entre deux articles par ex. pour les mĂ©decins R 4127-37-1, R 4127-37-2, R 4127-37-3, R 4127-37-4 ; par ex. pour les sages-femmes R 4127-310-2 et R 4127-310-3. Cela se comprend si on considĂšre que les articles doivent s’insĂ©rer dans la logique des matiĂšres traitĂ©es et ne pas ĂȘtre systĂ©matiquement placĂ©s Ă  la fin des dispositions existantes. Du moins, si une refonte d’ensemble d’un des trois codes devait intervenir, et donc supprimer les numĂ©rotations intercalaires, le systĂšme retenu permettrait de numĂ©roter en continu l’ensemble des articles. En dĂ©finitive donc la refonte du code de la santĂ© publique a entrainĂ© l’abrogation de cinq codes alors existants, facilitant ainsi de façon remarquable l’accĂšs au droit pour tous, ce qui est la finalitĂ© mĂȘme d’un code. Le Code du Travail regroupe l’ensemble des dispositions lĂ©gislatives et rĂ©glementaires rĂ©gissant les droits et les relations individuelles et collectives au travail applicables aux salariĂ©s du secteur privĂ©. Les principales dispositions du Code du Travail ne s’appliquent pas aux agents titulaires, stagiaires et non-titulaires de la fonction publique qui sont rĂ©gis par leurs statuts gĂ©nĂ©raux et particuliers. Toutefois, certaines dispositions de la partie 4 du Code du Travail relatives Ă  la santĂ© et la sĂ©curitĂ© au travail et au CHSCT – ComitĂ© d’HygiĂšne SĂ©curitĂ© et Conditions de Travail – sont applicables aux agents de la fonction publique. Comme les employeurs privĂ©s, les employeurs publics sont tenus Ă  une obligation de sĂ©curitĂ© et de rĂ©sultat en matiĂšre de santĂ© au travail et doivent prendre toutes les mesures pour prĂ©server la santĂ©, la sĂ©curitĂ© et l’intĂ©gritĂ© physique et mentales des agents fonctionnaires. Les huit parties du Code du Travail Il est divisĂ© en un chapitre prĂ©liminaire et huit parties - Chapitre prĂ©liminaire Dialogue social - Partie 1 Les relations individuelles au travail - Partie 2 Les relations collectives au travail - Partie 3 DurĂ©e du travail – salaire – intĂ©ressement – participation et Ă©pargne salariale - Partie 4 SantĂ© et sĂ©curitĂ© au travail - Partie 5 L’emploi - Partie 6 La formation professionnelle tout au long de la vie - Partie 7 Dispositions particuliĂšres Ă  certaines professions et activitĂ©s - Partie 8 ContrĂŽle et application de la lĂ©gislation du travail Chaque partie est divisĂ©e en livres. Chaque livre se divise en titres et chaque titre se divise en chapitres. Les articles L – R et D du Code du Travail Le Code du Travail est composĂ© - d’articles L qui regroupent des dispositions lĂ©gislatives lois et Ordonnances - d’articles R qui regroupent des dispositions rĂ©glementaires DĂ©crets en Conseil d’État - d’articles D qui regroupent des dispositions rĂ©glementaires DĂ©crets simples Les numĂ©ros des articles sont composĂ©s de 4 chiffres principaux suivis d’un tiret et une autre de chiffre secondaire. - Le premier chiffre de l’article dĂ©signe la partie Ă  l’intĂ©rieur des articles L, R ou D - le deuxiĂšme chiffre de l’article dĂ©signe le livre Ă  l’intĂ©rieur des articles L, R ou D - le troisiĂšme chiffre de l’article dĂ©signe le titre Ă  l’intĂ©rieur des articles L, R ou D - le quatriĂšme chiffre de l’article dĂ©signe le chapitre Ă  l’intĂ©rieur des articles L, R ou D Les chiffres situĂ©s aprĂšs le tiret servent Ă  numĂ©roter les articles. TĂ©lĂ©charger le Code du Travail Dans cet article, vous pouvez tĂ©lĂ©charger l’ensemble des parties du Code du Travail applicables aux salariĂ©s du secteur privĂ© et, dans certains domaines, aux agents de la fonction publique. Tous les documents du code du travail prĂ©sents sur cette page sont aussi consultables sur le site internet de lĂ©gifrance. Code du Travail Partie lĂ©gislative nouvelle

quatriÚme partie du code de la santé publique